-rien-

Prénom : Zoé
Animal : Zèbre
Métier : Zoologiste
Pays : Zimbabwe
Fruit/Légume : Un z'ananas
Personne connue : Zooey Deschanel
Objet : Un z'objet

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azerty12345

Je fus quelque peu surprise que Maxym approuve, disant que l’excuse dont je parlais était parfaitement plausible. Comment pouvait-il la savoir, cette excuse ? Je ne prêtais pas vraiment attention à quelle vitesse je prenais du poids, mais en baissant légèrement les yeux, je me rendis compte qu’avec mon maillot de bain, et probablement à cause du fait que je venais de manger, oui, ça paraissait que j’avais un surplus de poids, et que ce surplus n’était pas nécessairement à cause d’un trop plein de nourriture anormal. Donc, plutôt que de poser la question, je ne fis que rire légèrement, et dire : « Et pour être franche, je ne l’utilise pas souvent, je peux bien me le permettre ! Ce n’est pas tous les jours qu’on connaît de nouvelles personnes sympas ! » Je fis un nouveau sourire, puis je me décidai à ouvrir mon casier pour de bon, jeter un rapide coup d’œil aux photos de ma famille qui s’y trouvaient, ranger mes affaires et le refermer. Puis, je reportai mon attention sur Maxym et Aidhàn, et je leur demandai : « Quand j’y retournerai, est-ce que je vais vous voir à la piscine pour les activités ? »

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44973

Code:

• Je me suis levé(e) à:
  
• Je suis habillé(e)...:
  
• Dernière chose que j'ai mangée:
  
• Dernière chose que j'ai bue:
  
• Dernière chanson que j'ai écoutée:
  
• Dernière émission/film que j'ai regardé:
  
• Dernière chose que j'ai achetée:
  
• Ce qui m'est arrivé de positif dans la journée:
  
• Ce qui m'est arrivé de négatif dans la journée:
  
• Ce que je fais présentement:
  
• Quelle heure est-il ?

No offense but, I don't play well with others.

(M/F) CÉLÉBRITÉ ҩ citation en rapport avec le lien.

Nous étions à genoux, l’un en face de l’autre. Alors que je rompis notre baiser, la jeune femme passa une main tremblante sur ma joue, la caressant. Puis, elle eut un nouveau sourire à mon égard. Je déposai un bref baiser sur le coin de ses lèvres. « Dis, monsieur le beau gosse, tu sais que t'embrasse comme un dieu ? » En me chuchotant ces mots, je ne pu m’empêcher de rire. Olivia pressa une fois encore ses lèvres contre les miennes puis, je nous fit basculer sur la sable. Comme un peu plus tôt, la jeune femme était allongée dans le sable sur le dos et je me tenais au dessus d’elle. Mes coudes s’enfonçaient dans le sable clair et mes mains se baladaient sur son visage. « Oui, je crois qu’on me l’a déjà dit. Et t’a-t-on déjà dit que tes yeux étaient uniques ? » Je lui souriais à nouveau et m’emparai de ses lèvres douces. Petit à petit, mes mains descendaient le long de son corps pour atterrir sur sa taille avant de remonter près de son visage. Je quittai ses lèvres pour parcourir son cou, le sourire toujours accroché à mes lèvres. Cependant, les positions finirent par s’inverser. Olivia me poussa afin de se retrouver sur moi. Elle était assise à califourchon. Je levai les yeux au ciel, puis, je lâchai un rire bref. « J’aime pas trop comme ça. » Sans lui laisser le temps de répliquer, j’attrapai la taille finie de la jolie brune et la renversait à mes cotés. Elle se retrouva allongée dans le sable, comme quelques secondes plus tôt. Quant à moi, je restai dans la même position, allongé dans le sable clair, ma tête contre la sienne. Puis, je me redressai et vins me replacer par-dessus la belle. J’embrassai ses joues, son cou, le coin de ses lèvres, ses pommettes sans m’attarder sur ses lèvres. Je me stoppai quelques minutes et la regardai dans les yeux. Cela devenait une vraie habitude en sa compagnie, aussi charmante soit-elle. « Au fait, qu’as-tu déjà ? ‘beau gosse’ et ‘dieu’, n’est ce pas ? Je t’autorise à m’aduler. » Je lâchai un rire avant de poser un nouveau baiser sur ses lèvres. Bien sur, je la charriai et rigolai. Ce n’était absolument pas mon genre de me venter ainsi et de flatter mon égo, aussi gros qu’il puisse être. A dire vrai, je n’aimais pas du tout ce genre de personne. La vanité était une chose qui me dépassait totalement. Trop orgueilleux et prétentieux n’était pas dans mon registre. Du moins, j’espérai ne pas paraitre ainsi en face des gens.

Avec Alexis, c'était simple. Je ne posais pas de questions, elle n'en posait pas. Nous nous en sortions bien comme ça, nous parvenions à atteindre un terrain d'entente. Depuis que ma fille était partie, je ne cherchais même plus, et bien que je ne boive que peu d'ordinaire, depuis que ma fille était là, quand Caylee était repartie, bien que Honey soit encore là, j'avais un peu forcé sur les soirées et les doses d'alcool, à tel point que Honey a vécu chez une de ses amies en attendant que j'aille mieux. Finalement, la garde de ma fille m'a été retirée, et elle a été adoptée par la mère de son amie, qui m'interdisait à présent de la voir, allant même jusqu'à déménager. Alors que j'étais parti chercher des verres, j'entendis la voix d'Alexis. « Je suis vraiment affreuse. » Je fis un léger sourire. Non, Alexis était belle, même si elle n'avait pas l'air d'avoir spécialement pris soin d'elle ces derniers temps. Je revins avec les deux verres et les posait sur la table du séjour. « Ça va sinon ? » J'apportais les bouteilles sur la table avant de m'asseoir à côté d'elle. Je haussais les épaules tout en répondant. « Baah, t'inquiètes pas pour moi ma belle. Et toi ça va ? » lui demandais-je à mon tour tout en nous servant un verre chacun.

JOSEPH MORGAN - 11
CHACE CRAWFORD - 26
CORY MONTEITH - 02
ANDREW GARFIELD - 10
CHANNING TATUM - 02
COLTON HAYNES - 10
IAN HARDING - 09

Prénom : Damian
Animal : Dauphin
Métier : Driver
Pays : DIJON (enfin, si je peux mettre une ville )
Fruit/Légume : D
Personne connue : Diana Agron
Objet : Disque

Je m’appuyai contre la paroi de la douche et laissai couler l’eau fraiche. J’entendis des bruits de pas et ouvris les yeux. Je passai mes mains sur mon visage et lorsque je quittai mon appui, Olivia se tenait face à moi, une serviette de bain enroulée autour de son corps. Un nouveau sourire se posa sur mes lèvres lorsqu’elle laissa tomber la serviette à terre. Elle ouvrit la porte de la cabine et entra, m’embrassant au passage. « Tu me prêtes le jet d'eau ? » Je souris et au lieu de lui passer comme elle me l’avait demandé, je le posai de façon à ce qu’il soit au dessus de nous et qu’il nous arrose tous les deux. J’attrapai la jeune femme par la taille et la menai à moi. Je me tournai dans la cabine de douche et fis en sorte qu’Olivia soit appuyée contre le mur frais. Je me penchai sur elle et l’embrassai. Mes mains étaient elles aussi appuyées contre le mur, me retenant. L’eau coulait toujours sur nous. Plus tard, mon patron qui payait l’hôtel serait probablement ravi de voir le prix de la note d’eau monter. Mais là, de suite, je m’en foutais et ceci, royalement. Mes lèvres descendirent à nouveau dans le cou de la jolie brune et mes mains se pressèrent contre sa taille fine. Je sentais quelques frissons venant d’elle à mesure que mes doigts l’effleuraient. Je souriais suite à cela et me concentrai à nouveau sur les lèvres de la belle brune qui était avec moi. Je les lâchai cependant durant quelques secondes et plongeai mon regard dans ses grands yeux verts. « Je crois qu’on est propre là. » Je lui souris et coupai l’eau. Sans prendre le temps ni la peine de nous sécher, je soulevai Olivia et la ramenai sur le lit. Allongée sur le dos, je me plaçai une nouvelle fois par-dessus la jeune femme et l’embrassai encore et encore. Je tirai le drap que je rabattis par-dessus nous. Cependant, la main sur laquelle je tenais lâcha et je m’affalai contre Olivia en riant. Je me décalai en roulant à ses cotés et sortis la tête du drap. « Désolé. Je ne t’ai pas fais trop mal en te tombant dessus comme ça ? » Je me mis sur le coté et regardai la jeune femme qui émergea à son tour du drap. Elle était sur le dos. Mes doigts effleurèrent son bras, laissant derrière eux une nouvelle trainée de petits frissons.

« Blue, tu vas bien ma chérie ? » Blueberry venait de répondre au téléphone en voyant ‘Mom’ s’afficher à l’écran. Il était presque midi et la jeune femme était encore dans son lit, elle n’avait aucune envie de se lever en ce jour particulier qu’était le sept juillet. Elle avait encore une voix endormie. « Oui, bien sûr, m’man. » A la seconde où elle avait prononcé cette phrase, elle savait que ce n’était pas la réponse à donner, sa voix la trahissait toujours ou plutôt sa mère la connaissait trop bien. « C’est pourtant pas dans tes habitudes de ne pas être levée à onze ! » Mary-Jane avait raison, et Blue ne savait pas quoi répondre à ça. Elle se contenta donc de rester silencieuse. Sa mère dut juger bon d’ajouter quelque chose. « Tu veux passer à la maison ? Ou tu veux que je vienne à ton appart’ ?. » Même si sa mère ne pouvait pas le voir, Blueberry eut un petit sourire reconnaissant. « Non, c’est bon maman, si ça t’ennuie, je préfère pas. »

Ce n’était pas qu’elle ne voulait pas voir sa mère, c’était qu’elle préférait ne pas aller dans cette maison qui respirait encore Lucy. Elle préférait ne pas rentrer dans cette maison, et revoir Lucy l’accueillir en lui sautant dans les bras comme elle le faisait parfois. Elle ne voulait pas entrer dans cette maison et pleurer. Elle n’avait tout simplement pas envie de pleurer. Et elle savait que si elle voyait sa mère que ce soit dans la maison de son enfance et dans son appartement, elle pleurerait toutes les larmes de son corps. Blue refusait de pleurer encore devant sa mère. Aujourd’hui, cela faisait deux ans que sa grande sœur était morte. Deux ans, c’était long, et pourtant Blueberry ressentait toujours ce vide. Elle avait toujours l’impression de ne vivre qu’à moitié. Lucy lui manquait tellement. Heureusement qu’on était samedi, elle n’aurait pas à bouger de chez elle. Sa mère l’avait comprise, et en raccrochant, elle reposa sa tête sur son oreiller. Elle sentit des larmes couler le long de ses tempes. Et voilà pourquoi elle voulait continuer de dormir, elle savait que dès qu’elle ouvrirait les yeux et commencerait à penser à Lucy, elle se mettrait à pleurer. Elle sécha ses larmes d’un revers de main. Elle n’avait envie de voir qu’une seule personne. Clayton. Elle savait qu’il saurait quoi faire. Non, elle ne devait pas aller le voir, elle resterait chez elle, toute la journée. Bubble, son persan d’un an et demi, monta sur le lit et vint se frotter contre elle. Blue le prit dans ses bras afin de le poser sur elle. « Hey, mon Bubble. » Oui, Blue parlait à son chat. Mais, elle n’avait pas vraiment le choix. A qui pouvait-elle bien parler d’autre dans son appartement ? Personne. Ce mot résonna quelques secondes dans sa tête. Elle n’avait personne. Et soudain, elle ressentit un immense vide, un sentiment de solitude qu’elle ressentait parfois quand elle était chez elle, qu’elle ressentait après une mauvaise journée. En général, elle allait prendre sa douche, et ça suffisait pour lui changer les idées. Quelques fois du moins. Mais aujourd’hui était spécial, aujourd’hui, ça faisait deux ans. Alors aujourd’hui, même la douche n’allait pas marcher. Pas du tout même, car quand elle se décida enfin à se lever et qu’elle se retrouva sous le jet d’eau chaude, au lieu de la détendre, elle se mit à pleurer. Pas les mêmes larmes qu’elle avait laissées couler quand elle était sur son lit. C’était plus comme un torrent de larmes qu’elle n’arrivait pas à arrêter. Elle n’arrêtait pas de se repasser en boucle des souvenirs qu’elle avait de Lucy. L’image de sa sœur lui revenait en tête. Lucy ressemblait beaucoup à Sasha, c’était d’ailleurs aussi pour ça qu’aujourd’hui Blue refusait de voir Sasha. Elle ressemblait beaucoup trop à Lucy. Quant à aller voir une meilleure amie, elle n’en avait plus depuis deux ans et demi. Il n’y avait que Clayton. Elle était tellement amoureuse de lui. Pourtant, elle ne cessait de douter. Il était tellement dur de réaccorder sa confiance, même si elle savait que Clayton était innocent. Elle avait peur qu’il ne l’aime plus, elle avait peur qu’il retrouve quelqu’un. Après tout, elle s’était rendue compte à quel point Clay était séduisant, à quel point il plaisait mais avant, c’était lui et elle, elle et lui. Maintenant, c’était lui et quelque part, il y avait elle. Au fond d’elle, elle espérait tellement qu’il l’aime encore. Mais, pourquoi ? Il y avait tellement de filles bien plus jolies, bien plus gentilles qu’elle. Stupide, stupide, stupide se dit-elle alors qu’elle passait une serviette autour de sa poitrine. Pourquoi elle n’arrêtait pas de penser à lui ? Pourquoi elle avait tellement besoin de lui comme ça ? Alors qu’elle enfilait un jean et un t-shirt, elle essaya de ne plus y penser. Elle finit de sécher ses larmes et se dirigea vers la télévision. Elle passerait encore sa journée à regarder des programmes idiots. Elle s’endormirait sans doute devant. « Oh et puis non » Elle n’avait vraiment pas envie d’être seule à ruminer son chagrin d’avoir perdu sa sœur, et de ne pas réussir à revivre après ça. Et la seule personne qu’elle avait envie de voir était celui qui occupait ses pensées à longueur de temps. Il habitait Lombard Lane, pas très loin de chez elle, alors elle pouvait y aller à pied. Elle fut arrivée en quelques minutes. Elle connaissait le chemin par cœur, à force de le faire. Lorsque Clayton ouvrit la porte, elle lui fit un léger signe de la main en guise de salut. La jeune femme le trouvait tellement séduisant, elle aurait été capable de lui sauter dessus si elle n’était pas du genre à douter d’elle-même.

« Coucou. Je suis désolée de venir à l’improviste… » Blueberry se sentait gênée, sans trop savoir pourquoi. Elle était toujours à l’aise avec Clayton. Toujours. « J’avais pas envie d’être toute seule, ce soir. » Alors, j’avais de suite pensé à toi avait-elle failli ajouter. Mais elle n’avait pas envie d’être trop expansive, trop collante peut-être. Même si c’était vrai, même si elle avait effectivement de suite pensé à lui quand elle s’était retrouvée seule dans son appartement et qu’elle avait eu ce sentiment de solitude, de vide, que même Bubble ne comblerait pas ce soir-là. Il lui fallait Clayton, elle avait besoin de lui, besoin de sa présence. Blue lui adressa un sourire, qu’elle voulut joyeux. Mais, il la connaissait si bien… Elle sentit une larme couler le long de sa joue. « Ça fait deux ans aujourd’hui, Clayton. » Blue n’attendit pas de réponse, elle s’avança et se blottit contre son meilleur ami, recherchant le (ré)confort de ses bras.