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 MAÏKE •• Someday, I'll write my own fairytale; our story

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Maïke K. Bennett

Maïke K. Bennett
Fondatriceand Coo Coo crazy !

MA PETITE VIE

Feuille de personnage
▐ R e l a t i o n s:
PROFIL
▐ Inscrit le : 23/10/2010
▐ Messages : 9768
▐ Âge : 36
▐ Points : 22233
▐ Métier : Maître nageuse & Animatrice
▐ Statut civil : Mariée à James ♥ Maman de Lexie, Christopher, et Everleigh ♥
▐ Groupe : Shelter out of the rain

MAÏKE •• Someday, I'll write my own fairytale; our story Empty
MessageSujet: MAÏKE •• Someday, I'll write my own fairytale; our story   MAÏKE •• Someday, I'll write my own fairytale; our story Icon_minitimeJeu 25 Juil - 11:35


Maïke Krista Sullivan Bennett

Informations générales
Nom complet • Maïke Krista Bennett, née Maïke Krista Sullivan
Date de naissance • 13 juillet 1987
Lieu de naissance • Denver, Colorado, États-Unis
Âge • 26 ans
Métier • Maïtre-nageuse au Diamond Beach Paradise Hotel
Statut civil • Mariée à James C. Bennett et mère de trois enfants
Groupe • Shelter Out of the Rain
Célébrité • Veuillez remplir le code ci-dessous
Code:
<pris>Julianne Hough</pris> •• [i]Maïke K. Bennett[/i]
Histoire
Les derniers finiront toujours premiers, c’est ça que ma mère me disait…
« Quand un enfant a toutes les raisons du monde d’être découragée sur un point, une mère tente de tout trouver pour lui remonter le moral. C’est ce que mes parents ont dû faire quelques fois avec moi au cours de mon enfance. Pourquoi ? Parce que je suis la benjamine d’une famille qui comportait déjà quatre enfants avant mon arrivée. Deux jumeaux, un autre garçon, le plus jeune après moi, et ma grande sœur, l’aînée de la famille. De plus, je suis arrivée six ans après le dernier, j’étais un « petit surplus », quelque chose que mes parents n’attendaient pas réellement. Les nombres pairs étant toujours mieux, j’étais toujours celle qu’on mettait de côté dans la famille. Les jumeaux s’amusaient ensemble, mon autre frère et ma sœur s’entendaient bien, et moi, j’étais là, et j’attendais que quelqu’un vienne jouer avec moi. Par contre, ils avaient tous passé l’âge de s’adapter à moi, donc je me retrouvai toute seule. Voici ma situation familiale avant que j’aie l’âge d’entrer à l’école et de me faire des amis.

Le fait que mes frères et ma sœur ne se préoccupent pas vraiment de moi ne fit pas de moi une enfant antipathique, c’était le contraire ! Si mes frères et sœurs s’amusaient entre eux, moi j’avais de nombreux amis pour faire la même chose. Même toute jeune, j’étais probablement l’enfant qui passait le plus de temps à l’extérieur de la maison. Je ne faisais pas de mauvais coups, et mes parents étaient là quand c’était possible, parce que je pratiquais des activités un peu partout. Le théâtre à l’école, les concours quelconques, et surtout le sport, en particulier la natation. Alors que mes frères et ma sœur sont incapables de faire une longueur sans devoir mettre les pieds au fond de la piscine au moins une fois, dès que j’étais dans une piscine, je me sentais à l’aise, et je me rendis compte que si je n’étais pas dans l’eau quand je travaillerais plus tard, je ne serais peut-être pas heureuse. »

Mais parfois les premiers ont leurs problèmes…
« J’avais finalement trouvé quelque chose à quoi j’étais meilleure que mes frères et ma sœur, à savoir la natation. Mes parents ne cessaient de me répéter qu’un jour, j’allais réussir à me démarquer, je venais de le faire, et ils m’encouragèrent là-dedans. Évidemment, les cours de natation n’étaient pas donnés, mais je passai tous les niveaux requis et à seize ans, je réussis finalement le cours que je visais depuis que j’avais commencé à faire de la natation, soit le cours requis pour devenir maître nageuse. Je provenais d’une petite ville en bordure de Denver, donc des maîtres nageurs, il n’y en avait jamais trop. Cela ne prit pas de temps pour que je sois engagée à la piscine de mon quartier, comme surveillante de piscine, et finalement comme professeure de natation à temps partiel. Je continuais mes études, mais je passais tout le reste de mon temps à la piscine, où j’étais connue de tout le monde, où je me sentais bien.

C’est dans la piscine que je passais la plus grande majorité de mon temps, et c’est dans la piscine qu’est arrivé un incident qui a complètement changé ma vie. Cela faisait deux ans que je travaillais, je n’avais que dix-huit ans, et tandis que je faisais un cours avec des enfants plus jeune, j’entendis le nouveau maitre nageur crier de panique; une enfant d’environ douze ou treize ans flottait inconsciente au-dessus de l’eau. Évidemment, j’eus un choc, mais j’étais entraînée, et je demandai aux enfants de rester hors de la piscine. J’allai chercher l’enfant et je fus obligée de lui faire une réanimation cardiaque pour qu’elle se réveille enfin et recommence à respirer. Heureusement, l’autre maitre nageur qui avait paniqué avait eu au moins la bonne idée d’appeler l’ambulance quand je lui ai demandé, donc celle-ci arriva quelques minutes après sur les lieux. J’avais eus le temps de procéder à la réanimation, les ambulanciers feraient le reste à l’hôpital.

Dans une petite ville en banlieue, les nouvelles se répandent rapidement, et c’est ce qui arriva avec l’histoire de ce sauvetage. Les premiers jours, les gens me félicitaient, mais cela ne prit pas longtemps avant qu’une autre nouvelle complémentaire tombe, sous la forme d’une enveloppe provenant de la cour de justice d’État; la mère de l’enfant que j’avais sauvé décidait de m’intenter un procès pour avoir infligé des blessures à sa fille, puisqu’en procédant à la réanimation, je lui avais cassé deux côtes, chose qui pourrait arriver fréquemment lors de ces procédures. Un avocat, des témoins qui plaidaient en ma faveur, rien ne réussit à me sauver, et je fus condamnée coupable. Je ne fis pas de prison, puisque je n’avais pas vingt-et-un ans, mais je me retrouvai avec une dette importante envers la mère de l’enfant, qui m’avait intenté ce procès contre de l’argent si elle le remportait.

L’histoire ne resta évidemment pas là. Certaines personnes crurent que la femme eut raison et que j’avais blessé l’enfant, mais certaines personnes prirent ma défense, disant que j’avais sauvé la vie de cet enfant, même s’il n’avait jamais été prouvé, sauf par moi-même, que l’enfant fût en danger de mort quand je l’ai tirée de l’eau. Je me faisais regardée de tous, j’étais devenue une attraction publique, mais dans un sens que je n’étais plus capable de supporter. Il fallait que je parte ailleurs, mais avec l’amande à payer, qu’on me soutirait de mon salaire à la piscine, puisque malgré l’incident, je pouvais continuer à enseigner la natation, même si c’était plus difficile, c’était impossible. Les personnes qui avaient pris ma défense avaient au moins eu la bonne idée de jouer avec leurs contacts, et je réussis à avoir une bourse d’études pour aller étudier la médecine sportive, le programme que je souhaitais, aux Bahamas. »

Une nouvelle vie qui commence, et cette fois-ci, je ne suis pas la dernière
« Je passai donc quatre ans à étudier la médecine sportive aux Bahamas, permettant d’améliorer la formation que j’avais déjà en natation, puisque même si cet incident était arrivé, je continuais de croire que j’avais fait la bonne chose, et certains de mes employeurs aussi. Avec cette solide formation, cela ne prit pas de temps pour que je me trouve un emploi bien payé de maître-nageuse dans un nouvel hôtel cinq étoiles, le Diamond Beach Paradise Hotel. Mon affiliation ? La grande piscine de l’hôtel, là où il y a toujours au moins quelques personnes prêtes à s’amuser. Comme j’étais professeure de natation à Denver, maintenant, je fais quelque chose de plus autre que de surveiller la piscine, mais je suis également animatrice. J’organise des activités autour et dans la piscine, qui plaisent souvent aux enfants et aux adultes.

Ce nouvel emploi, je compte le garder un bon moment, puisque je l’aime beaucoup, et ça me permet de rencontrer toujours de nouvelles personnes. Je sens que je ne fais pas peur à personne, et je m’attache même aux clients qui font un séjour plus long, comme ce client, James. Bien que ce ne soit pas interdit, les relations entre les employés et clients de l’hôtel ne sont certainement pas bien vues. James, je l’ai croisé quelques fois à la piscine, et c’est au cours des soirées que j’ai commencé à davantage lui parler, pour finalement tomber amoureuse de lui. Cela fait maintenant un an que je le connais, et peu importe son passé, peu importe le mien, je sais que je l’aime, et que c’est l’homme de ma vie. On se cache toujours, mais je sens qu’on ne pourra pas faire cela longtemps, puisque je viens tout juste d’apprendre que je suis enceinte de lui. Il ne le sait pas encore, mais je ne pourrai pas le cacher très longtemps. »

À la fin, dans mon rêve, je suis arrivée première
« Je me suis retrouvée au pied du mur dès que j'ai appris que j'étais enceinte. Premièrement, je le fus avec mes proches, qui ne savaient pas que j'entretenais une relation amoureuse avec un client de l'hôtel. Par contre, le plus difficile dans tout cela, ce fut quand, durant ma pause, le lendemain que moi j'avais appris la nouvelle, j'avais dit à James que j'étais enceinte. J'avais imaginé toutes sortes de réactions, certaines moins jolies que d'autres, mais celle qu'il eut, jamais je n'aurais pu m'y en attendre. En fait, il n'eut pas de réaction du tout, il partit, et je n'eus pas de ses nouvelles durant plusieurs jours, je n'ose même pas les compter tellement ce fut long.

Un soir, alors que j'étais seule dans mon bungalow, complètement dévastée, James arriva dans ma chambre, et me dit les seuls mots que je voulais entendre; qu'il était désolé, qu'il m'aimait, et qu'il voulait qu'on ait des enfants ensemble. Encore plus que cela, il m'a demandé en mariage ce jour là. Comblée, j'ai dit oui à sa demande, et le 18 mai 2011, je me suis mariée sur la plage, devant ma famille et tous nos amis. Je suis devenue ce jour là Maïke Krista Bennett, une femme comblée, enceinte de deux enfants qui allaient voir le jour au mois d'août; un garçon et une fille.

Je pensais à ce moment là que le 15 août, ce serait encore loin, mais maintenant que j'y repense, il s'est passé tellement de choses que je n'ai pas vu le temps passer; au début du mois de juin, le médecin m'a appris que pour éviter la naissance prématuré des jumeaux, je devrais garder le lit jusqu'à leur naissance, à savoir durant presque trois mois. Moi, me demander de ne pas bouger, c'était une véritable torture. Je l'ai fait quand même, mais mes bébés ont probablement compris que cela me déplaisait, parce que le matin du 2 juillet, ils ont décidé de pointer le bout de leur petit nez. Lexie et Christopher sont nés plus petits que la normale, mais en excellente santé, faisant le bonheur de leurs parents, qui ont même récemment acheté une maison pour avoir une vie de famille exceptionnelle.

Bien sûr, chaque conte de fées rencontre un élément perturbateur, une embûche. Dans mon cas, ce fut quand mon mari m'annonça qu'il avait couché avec une de ses ex durant le mois de janvier. Là, je sentis que j'étais bonne dernière dans ma vie, parce que je croyais qu'il ne voulait plus de moi, alors que je ne m'imagine pas vivre sans lui, encore aujourd'hui. C'est probablement ce qui explique pourquoi je lui ai pardonné, après trois jours sans dormir, sans manger. Je ne regrette pas cette décision depuis, loin de là, puisque nous sommes redevenus un couple aussi uni et amoureux qu'auparavant, voire plus, sachant que nous devons être de bons parents pour nos trois enfants depuis maintenant novembre 2012, puisqu'à la suite de cette histoire, j'ai appris que j'étais enceinte de nouveau. James et moi sommes devenus parents d'une petite fille, nommée Everleigh Kaliska Bennett, au milieu de novembre, pour notre plus grand bonheur. Aujourd'hui, je me moque qui peut se penser supérieur à moi, je sais que dans mon monde, jamais je ne pourrais me sentir mieux qu'aujourd'hui."

Personnalité
Maïke est le genre de fille avec qui tout le monde veut être. La première chose qu’on remarque chez la jeune femme, c’est qu’elle est sympathique avec tout le monde. En quelques jours, elle peut devenir la grande sœur d’une personne, la mère d’un enfant qui se sent seul, la petite sœur de jeunes adultes qui cherchent à s’amuser un peu, la meilleure amie des cœurs en perdition, et la fille que toutes les mères voudraient avoir. Maïke est adorable, drôle et sensible. Contrairement à certaines personnes, elle déteste passer ses journées assise dans une chaise à dicter des règlements, elle préfère de loin passer du temps avec les gens dans la piscine et s’amuser tout en travaillant. Au départ, ses employeurs n’aimaient pas sa façon de procéder, mais quand ils se rendirent compte que Maïke était vive d’esprit et qu’elle était capable de s’occuper de plusieurs choses en même temps, ils décidèrent de la garder, considérant sa présence à l’hôtel comme un cadeau exceptionnel. On peut reprocher à Maïke d’être un peu enfantine parfois, puisqu’elle est la première à prendre part aux jeux qu’elle anime, et à s’amuser comme une folle, peu importe de quoi il s’agit. Par contre, cela ne fait pas d’elle une idiote, bien au contraire. Elle donne parfois l’impression d’être un peu stupide, probablement à cause de ses airs rieurs et de ses cheveux blonds, mais elle réussit quand même à impressionner les gens en affirmant qu’elle a très bien réussi son diplôme en médecine sportive, prouvant là qu’elle est loin d’être stupide.

Comme presque tout le monde, Maïke a ses petites manies. Quand elle est gênée et qu’elle sourit, son nez retrousse, elle rougit à rien, mais celle qui est probablement la plus visible, c’est le fait qu’elle se ronge les ongles. C’est peut-être une manie un peu moins élégante qu’elle doit retenir de l’époque où elle vivait avec trois frères, mais ce n’est pas majeur. Maïke a du mal à avoir les ongles longs, sauf quand elle se prépare pour une occasion importante et qu’elle veut avoir de beaux ongles. Dans ces temps-là, elle met du vernis assez foncés, ce qui a pour effet de la démotiver à se mettre les doigts dans la bouche pour s’arracher les ongles, mais autrement, elle est incapable de se retenir, comme elle est incapable de s’empêcher de manger du chocolat. Certains clients plus réguliers de l’hôtel commencent à la connaître et parfois, quand elle se montre très serviable, ils se permettent de lui offrir des petits cadeaux plutôt qu’un pourboire qu’elle peut très mal garder pendant qu’elle travaille. Ils ne se cassent pas la tête; ils lui achètent une boîte de chocolat, des biscuits au chocolat, bref, tout ce qui comporte du chocolat à l’intérieur. Maïke est toujours heureuse, puisqu’elle sait que bien souvent, elle va en manger la moitié le soir même, l’autre moitié le lendemain. La seule raison pour laquelle elle ne prend pas de poids, c’est parce qu’elle bouge toute la journée. Maïke prétend souvent avoir peur de quelque chose, simplement pour jouer les filles adorables, mais en fait, la seule chose dont elle a réellement peur, ce sont les hérissons. Après avoir été blessée par l’un d’entre eux, c’est la seule chose qu’elle ne supporte pas, et heureusement, elle n’en a jamais vu à l’hôtel.

Si Maïke est si adorable et dégage quelque chose de doux et sympathique, c’est parce que son physique accompagne bien sa personnalité. Comme tous les membres de sa famille, Maïke n’est pas très grande. N’ayant jamais mesuré plus d’un mètre soixante-trois depuis son adolescence, Maïke a toutefois quelques kilos de plus que les autres filles de sa taille, mais c’est parce qu’elle est très sportive et que ces kilos supplémentaires se trouvent surtout à être des muscles au niveau des bras et des jambes développés au cours de ses nombreuses heures de natation. Si certains maitres nageurs trouvent cela plus pratique d’avoir les cheveux plus courts, Maïke préfère de loin garder ses longs cheveux blonds qui lui font ressembler comme deux gouttes d’eau à sa mère quand elle était adolescente, puisqu’on ne peut pas le cacher, Maïke semble beaucoup plus jeune qu’elle ne l’est réellement. En fait, il n’est pas surprenant de voir quelqu’un étonné d’apprendre que Maïke a plus de vingt ans, alors que certains croient qu’elle est toujours une adolescente qui travaille à l’hôtel pour l’été et qui retourne au lycée au mois de septembre. Maïke est souvent comparée à une petite poupée, sûrement en raison de ses yeux bleus pétillants, de son visage délicat, de ses lèvres pâles et de ses dents blanches bien alignées. Après avoir passé plusieurs heures sous le soleil, Maïke est évidemment bronzée, sans toutefois pousser à l’exagération. Pour travailler, Maïke n’a pas d’autre choix que de porter un maillot de bain pour travailler. Quand elle n’est pas dans la piscine, Maïke met par-dessus son maillot rouge avec un bas blanc un short et un t-shirt. Les cheveux attachés en une queue-de-cheval haute, Maïke n’arrive jamais au travail sans ses sandales et sa veste blanche qu’elle enlève tout de suite quand elle arrive dans la piscine et qu’elle porte seulement quand il fait frais. Ce qui fait souvent rire tout le monde, c’est le fait que Maïke porte des lunettes fumées avec un énorme contour blanc, plutôt que des lunettes noires de sport comme tout le monde. Quand elle ne travaille pas, Maïke aime bien s’habiller de façon élégante. Habitant dans un pays où il fait toujours chaud, elle aime beaucoup porter des robes de plage courtes, parfois volantes. Il est assez rare de voir Maïke en pantalons, à la limite en shorts courts. Même si elle sait qu’elle ne semble pas très sérieuse, Maïke n’aime pas s’habiller comme les femmes matures, elle aime bien encore ressembler à une enfant parfois.

Toi derrière l'écran
Moi, je m'appelle Marilyne, j'ai 22 ans et sur Internet, on me connait surtout sous le nom de Mayiie. J'ai connu A Beautiful Lie par Ma propre personne, je suis fondatrice ! Razz et je trouve qu'il est Le meilleur Love. De ce fait, je m'engage à jouer mon Poste vacant, qui se trouve à être mon Premier compte, et je l'assume en attestant que Code OK par moi Cool
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