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 KAS •• In a world like this, I would have you

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Keiko A. Seven

Keiko A. Seven

MA PETITE VIE
PROFIL
▐ Inscrit le : 19/08/2012
▐ Messages : 144
▐ Âge : 28
▐ Points : 547
▐ Métier : Étudiante en médecine vétérinaire & Adjointe administrative
▐ Statut civil : Célibataire
▐ Groupe : I can't escape myself

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MessageSujet: KAS •• In a world like this, I would have you   KAS •• In a world like this, I would have you Icon_minitimeMer 14 Aoû - 8:41


Keiko A. Seven

Informations générales
Nom complet • Keiko Ashlyn Seven
Date de naissance • 14 août 1995
Lieu de naissance • Moscou, Russie
Âge • 18 ans
Métier • Étudiante en médecine vétérinaire & Assistante au Diamond Beach Paradise Hotel
Statut civil • Célibataire
Groupe • I can't escape myself
Célébrité • Veuillez remplir le code ci-dessous
Code:
<pris>Debby Ryan</pris> •• [i]Keiko A. Seven[/i]
Histoire
10 août 2012 – Demeure de la famille Seven -  Moscou, Russie
«Keiko, ma chérie, il va falloir que tu nous dise ce que tu veux pour ton anniversaire ! »

« Oui maman… »

Je venais tout juste de rentrer d’une journée avec mes amies qui avait eu pour effet de me changer les idées que maman me revenait avec cette même requête. Depuis le départ d’Ysmaël de la maison, c’était toujours comme ça, à Noël ou à mon anniversaire ; mes parents me demandaient ce que je voulais, et peu importe la demande que je faisais, exorbitante ou non, et j’obtenais ce que je souhaitais. Je n’étais pas à plaindre, depuis mon enfance, j’avais des parents aimants, une famille que j’aimais beaucoup. Par contre, cette année, c’était différent ; Je savais déjà ce que je souhaitais pour mon anniversaire, mais c’était la partie d’en faire part à mes parents qui me faisait peur. Justement, parce que je les aimais tellement, je craignais leur faire de la peine avec mon souhait, mais il y avait plusieurs semaines que je remuais ciel et terre, et que mes envies étaient confirmées. Il ne restait que d’avoir la seule chose qui me manquait pour que le tout s’accomplisse, cette chose se trouvant à être ce fameux cadeau d’anniversaire que je n’arrivais pas à demander.

Je m’enfermai dans ma chambre, balançai mon sac par terre, et je m’affalai sur mon lit, en position couchée. Je fixai le plafond en soupirant ; comment faire ? Il fallait que je me dépêche si je souhaitais réellement obtenir ce cadeau, parce que sinon, jamais mes parents auraient l’occasion de me l’acheter. Ce n’était pas quelque chose de difficile à trouver, c’était même possible de l’acheter en ligne, mais encore fallait-il qu’il reste de la place… Et dire que je n’avais même pas vérifié ! J’avais beau avoir sauté une année scolaire, et être sur le point d’entrer à l’université en médecine vétérinaire, il n’en restait pas moins que sur ce coup, je me trouvais complètement stupide. Sitôt, j’attrapai mon ordinateur portable, me rendit sur le site de ligne aérienne que je connaissais le mieux, lançant une recherche pour un billet d’avion, avec correspondance ou non, de Moscou jusqu’aux Bahamas. Je tapai une recherche flexible, me moquant complètement de quitter maintenant, à mon anniversaire, ou seulement dans un mois. Je voulais simplement avoir une place dans un de ces avions, première classe, classe économique ou même dans la cale, je m’en moquais, tant que j’arrivais à destination, de préférence en un seul morceau, évidemment.

La recherche fut anormalement longue, et cela me fit craindre le pire, pire qui arriva quand je vis les mots « Aucun résultat trouvé » s’afficher à l’écran. Violemment, je rabattis le dessus de l’ordinateur, et lançai mon oreiller à travers la pierre en poussant un cri de frustration qui ne m’était pas du tout propre. Moi qui étais d’un naturel doux, à ne pas placer un mot plus haut que l’autre, là, ce fut plus fort que moi. Ce geste alarma ma mère, qui s’empressa de monter à l’étage et entrer dans ma chambre, alors que j’étais couchée sur le ventre, et que je tentais comme possible de retenir mes larmes. Maman obligea à me relever, repoussai les mèches de mes cheveux châtains qui venaient obstruer mon visage rempli de frustration et de tristesse, puis me demanda de lui expliquer ce qui se passait. Gardant la tête baissée, honteuse de mon comportement, je dis :

« Je le sais depuis longtemps, mon cadeau, mais je n’osais pas… Et là ce n’est pas possible… »

« Mais que souhaitais-tu ma chérie ? Tu sais bien qu’on ne t’en voudra pas… »

J’hésitai. Je ne savais pas comment leur dire. Puis, les larmes se détachèrent du coin de mes yeux d’elles-mêmes, sans que je puisse les contrôler. Pour être certaine que maman ne le prenne pas mal, je me blottis contre elle, comme je le faisais quand j’étais enfant, et je dis :

« Pour mon anniversaire, je voulais voir Maël… »

Il y eut un silence, un silence lourd qui s’installa entre nous. Je risquai un œil en direction du visage de ma mère, semblable au mien ; elle ne semblait pas surprise par ma demande, elle semblait même compréhensive. Elle devait savoir que j’aimais mon grand frère plus que tout, et qu’il me manquait à chaque jour depuis qu’il était parti. Mes deux sœurs, j’avais eu un peu de mal, mais j’étais passée par-dessus rapidement, en grande partie grâce à lui. Nous nous étions soutenus dans tout cela, et nous étions devenus très proches. J’aurais préféré utiliser le terme « inséparables », mais puisque le destin nous avait effectivement séparés quand Ysmaël était devenu père, je ne pouvais pas en faire usage, et cela me déchirait le cœur. J’en avais assez, voilà maintenant plus d’un an que je ne l’avais pas vu, ou presque, et que je voyais à peine ma nièce. Je n’en pouvais plus…

« On va trouver quelque chose, ma chérie… »

Maman m’embrassa sur le front et sortit pour me laisser tranquille. Je lui fis un dernier sourire en coin de gratitude avant de la laisser partir, même si au fond, je ne croyais plus qu’elle avait vraiment une solution pour moi. Je pensais plutôt qu’elle disait ça seulement pour me réconforter, qu’au fond, je ne pourrais pas revoir mon frère avant un bon moment encore. Au moins, je lui avais dit ce que je voulais, la balle était dans son camp de même que celui de mon père…

14 août 2012 – Demeure de la famille Seven – Moscou, Russie

« Bon anniversaire ma Kei’ chérie ! Voici ton cadeau ! »

Je pris le paquet de taille moyenne que mon père me tendit en faisant un gros effort pour le remercier. J’avais le sentiment de vivre le pire anniversaire qui soit. Mes parents avaient fait un effort pour me préparer un repas que j’adorais, un gâteau chocolat et framboises, mon préféré, rien n’y faisait, j’étais toujours convaincue que je ne pourrais pas avoir le cadeau que j’aurais voulu, au fond. Je déballai le paquet, pour me rendre compte qu’il s’agissait d’un dossier avec des papiers dedans, le premier étant un formulaire semblable à celui que j’avais rempli pour aller à l’université de Moscou, avec mon nom, ma photo et tout. Intriguée, je regardai mon père, et je dis :

« Qu’est-ce que je vais faire avec un document d’université ? »

« Regarde plus attentivement »

C’est ce que je fis : Je m’attardai plutôt sur les rebords de la feuille, pour voir l’emblème de l’université, qui ne ressemblait à rien à celle de l’université où j’étais inscrite. Je faillis tomber de ma chaise quand je vis le nom de l’université inscrit : Université d’East Grand Bahama. C’est là qu’Ysmaël habitait ! Je regardai les autres documents ; il y avait un billet d’avion aller-simple pour les Bahamas, le formulaire à présenter quand j’arriverais à l’hôtel où il travaillait, tout ce dont j’avais besoin, et plus encore.

En voyant cela, j’agis comme je ne l’avais pas fait depuis mes dix ans probablement ; je sautai dans les bras de mes deux parents, laissant les feuilles voler un peu partout dans la cuisine. Ce n’est pas grave ; j’allais les ramasser plus tard. Je parsemai le visage de mes parents de baisers, les laissant comprendre que j’étais aux anges, surtout que lorsqu’ils me dirent que Maël n’était pas au courant, ça ne fit que me rendre heureuse un peu plus : Le lendemain, j’allais faire la plus grande surprise qu’une petite sœur peut faire à son frère qui l’a tant manqué, à savoir s’installer au même endroit que lui pour entamer ses études universitaires. Le pire des anniversaires est maintenant devenu le meilleur, et j’ai définitivement les meilleurs parents du monde. Maintenant, ce sont eux qui vont me manquer.

Toi derrière l'écran
Moi, je m'appelle Marilyne, j'ai 22 ans et sur Internet, on me connait surtout sous le nom de Mayiie. J'ai connu A Beautiful Lie par Moi-même :27: et je trouve qu'il est THE BEST Brillant. De ce fait, je m'engage à jouer mon Scénario, qui se trouve à être mon Quatrième, je crois, compte, et je l'assume en attestant que Code Ok par Moi Reine
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