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 LOL ∞ i swear you givin' me a heart attack.

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Lauryn O. Lefebvre

Lauryn O. Lefebvre

MA PETITE VIE
PROFIL
▐ Inscrit le : 18/03/2012
▐ Messages : 101
▐ Âge : 33
▐ Points : 478
▐ Métier : directrice d'une agence touristique
▐ Statut civil : en couple
▐ Groupe : shelter out of the rain

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MessageSujet: LOL ∞ i swear you givin' me a heart attack.   LOL ∞ i swear you givin' me a heart attack. Icon_minitimeVen 2 Aoû - 8:33


Lauryn Olivia Lefebvre

Informations générales
Nom complet • Lauryn Olivia Lefebvre
Date de naissance • 18.07.1985
Lieu de naissance • antibes; france.
Âge • 28 ans
Métier • directrice d'une agence de tourisme
Statut civil • en couple
Groupe • i can't escape myself
Célébrité • Veuillez remplir le code ci-dessousLauryn O. Lefebvre[/i][/code]
Histoire
Les yeux rivés sur le tas de photos qui s'étalait devant moi, je repensais à ma mère, à ce qu'elle a vécu. Six ans que je ne lui avais pas parlé, six ans que je lui avais définitivement tourné le dos, et je ne comptais pas revenir sur ma décision. Certes elle me manquait, j'avais souvent envie de l'appeler en pleurs, lui dire tous mes soucis, l'écouter me raconter les siens, lui dire que je l'aime, mais c'était à elle de faire le premier pas, de s'excuser, moi, j'ai déjà donné niveau excuses. Car oui, ce n'était pas notre première dispute, et ce ne serait sûrement pas la dernière. Ma relation avec ma mère a toujours été très conflictuelle. Sûrement à cause de nos caractères opposés. Elle est une femme dépendante aux hommes, qui a besoin de sentir une présence masculine près d'elle, qui l'aime et qui la protège contre les épreuves de la vie, ce qui a toujours eu le don de m'énerver, étant totalement indépendante. Oui, ça m'énervait de toujours devoir la ramasser à la petite cuillère après chaque rupture, et de la voir retomber dans le même piège six ou sept jours plus tard. Et il y a six ans, je ne me suis pas démontée, je n'ai pas recommencé à lui faire des courbettes et lui dire que c'était tous des idiots. Non, cette fois, je lui ai dit ce que j'avais sur le coeur.

6 ans plus tôt.

Midi trente. L'heure du déjeuner. Ayant la flemme de cuisiner, j'attrapai le paquet de pâtes qui me narguait du haut de son étagère, et les mis dans l'eau qui dansait dans la casserole, et au lieu d'attendre bêtement devant ma plaque que les nouilles cuisent, j'allais chercher mes cours pour réviser vite fait afin de ne pas aller à la classe suivante sans savoir de quoi nous avions parlé l'heure précédente. Tandis que regardais les lignes écrites me raconter des choses que je n'avais pas envie de lire, mon téléphone portable vibra sur la table, juste au dessus de mon ordinateur. L'écran affichait la mention « Maman », et avant d'avoir décroché, je savais déjà la raison de son appel. Je posai le téléphone sur mon oreille, et avant qu'elle ai pu parler, je lançais un «  Qu'est ce qu'il se passe encore? ». Le silence ainsi que les sanglots étouffés de l'autre côté de la ligne me firent comprendre que je ne m'étais pas trompée sur l'appel si soudain de ma maternelle. Puis elle se décida à prendre la parole.

- Thomas... Il m'a quittée... Nous devions fêter nos deux mois au restaurant, et il vient de me dire qu'il ne pourrait et que je ne devais jamais le rappeler.

Ce discours, je le connaissais. Malgré les reniflements à chaque mot, je savais ce qu'elle m'avait dit, car chaque moi c'était pareil. Chaque fois qu'elle rencontrait un homme, c'était pareil : elle se voyait déjà mariée avec lui et passant le restant de ses jours dans ses bras. Et à chaque fois en leur faisant part de ses projets ils prenaient peur et paraient en courant. Ce que je concevais totalement! Je serais la première à prendre mes jambes à mon coup si un homme me faisait part de tels plan alors que ça ne fait que deux mois que nous sommes ensemble. Puis elle se moucha un grand coup et enchaîna

- Viens me voir Lauryn! J'ai besoin d'avoir ma fille à côté de moi pour aller mieux.

Non, cette fois je n'allais pas céder. Depuis que j'étais partie à la Fac, c'est à dire un an, je devais tout le temps prendre le train pour la voir pleurer toutes les larmes de son corps, or j'en avais ma claque. De plus, j'avais un cours plus qu'important donc je ne pouvais pas le louper.

- Non Maman, je ne viendrais pas, je ne peux pas.

J'entendis un hoquet au bout de la ligne, et avant que j'ai pus lui demander si ça allait, je l'entendis me lancer sèchement

- Comment ça tu ne peux pas?! On peut toujours venir voir sa mère! T'as qu'à dire que tu ne veux pas me voir, ça ira plus vite! Vous êtes tous pareils! Quand il s'agit de lui payer sa fac, elle peut la voir sa mère!

Et là, après qu'elle ai fini, une vague de colère me prit de la tête aux pieds. Je soufflai un coup, et lui répondit en m'emballant

- Tu sais quoi? Oui je n'ai pas envie de te voir. Parce que j'en ai marre de devoir courir vers toi dès que tu fais des conneries. J'en ai marre de te voir pleurer pour un mec alors que dans cinq jours tu en auras un autre. J'en ai marre de louper des cours juste pour pouvoir t'entendre te plaindre de ta dernière conquête. J'en ai marre que tu penses que tu es la seule au monde. J'ai des cours à suivre, des examens en fin d'année et je n'ai pas envie de le les louper parce que tu es complètement accro aux hommes.

Elle me lança un « je crois que tout est dit » et raccrocha. Je me sentais vidée, triste mais soulagée, énervée comme jamais. Et depuis ce jour je ne lui ai plus parlé. Pas un mot, pas un signe, pas un coup de fil. Peut être que je suis définitivement barrée de son testament, peut être qu'elle considère qu'elle n'est plus mère, ça me fait mal, mais la vérité devait être dite, quoi qu'il en coûte. Et je ne pouvais plus supporter cette situation.

Ce n'était pas le moment le plus joyeux de ma vie, mais c'est à partir de cet instant où je me suis sentie réellement libre. Libre d'accomplir une chose, une seule chose qu'elle m'avait toujours défendu, et enfin je pouvais le faire. Je me levais de devant mon ordinateur et courait dans la petite pièce qui me servait de chambre, pris l'album photo posé dans ma table de chevet, et allai directement à la dernière page, où un petit papier attendais juste que je le prenne. Je le sorti délicatement de sa pochette cristal et relu les lignes écrites « Alexandre : 03 66 58 62 12 ». Ce numéro, c'était celui de mon père. Je ne l'ai réellement connu; juste une fois où il m'avait appelée et nous étions allés boire un verre. Nous avions passé la soirée ensembles, et quand je l'ai dit à ma mère, elle m'a giflée et m'a ordonné de ne jamais le revoir. N'ayant pas l'es prit rebelle, j'avais accepté et caché le numéro ici « au cas où »
Je pris mon téléphone que j'avais gardé sous la main, encore sous le choc de ma discussion avec ma mère, et composai le numéro. Une voix d'adolescent répondit. Je demandais Alexandre, quand le jeune me dit qu'il était absent pour le moment. Je lui demandai de me rappeler, donnai mon numéro et raccrochai. Trois heures plus tard, il rappela et c'est à partir de ce moment que je retrouvai mon père. Je n'avais certes plus de mère, mais j'avais quand même retrouvé l'homme que je devais admirer plus que tout, quelque part, je me sentais plus stable de savoir que j'avais encore mes deux parents. Car oui, si ma mère en voulait autant à mon père, c'est parce que je suis dans des conditions peu honorables.

19 ans plus tôt.

Eileen faisait milles tours de chambre. Alexandre, posé sur le lit prit sa tête dans ses mains. Il réfléchissait comment ils avaient pus en arriver là. Qu'allait – il dire à sa femme? Comment allait – il justifier le fait qu'il allait encore être plus absent? Il ne pouvait plus prendre l'excuse du travail. : elle allait se douter de quelque chose à force. Il était dans un dilemme face auquel il ne pensait jamais tomber. Pour l'instant, le bébé dans le ventre de sa maîtresse n'était qu'un foetus, il avait juste besoin d'amour, et il savait que Eileen allait pouvoir le faire pour deux, mais qu'en serait – il lorsqu'il aura besoin d'avoir l'amour d'un père? Il voulait être présent pour cet être. Il avait envie d'être papa. Mais il avait aussi envie de rester avec sa femme, car malgré sa relation adultère, il l'aimait.
Eileen, elle, était calme malgré les apparences. Elle n'était pas triste, au contraire elle jubilait. Enfin elle allait pouvoir vivre avec l'homme qu'elle aimait. Enfin elle avait l'occasion de devenir « La Femme » et non plus «  la maîtresse ». Enfin elle allait pouvoir s'afficher avec son homme et former une famille heureuse et épanoui. Peut – être l'enfant aurait – il un frère, ou une sœur? Voire plusieurs? Ils allaient pouvoir acheter une maison tous les deux, pour que le bébé puisse vivre dans un environnement sain. Surtout que Alexandre en avait les moyens, étant un riche avocat. Elle n'était que sa secrétaire, mais ça lui permettait d'avoir toujours un œil sur lui quand il travaillait. Car cet homme, assis sur le lit de leur chambre d'hôtel, elle en était tombé amoureuse dès le premier jour, elle était tombée sous le charme de ce visage, cette démarche, et cette façon de parler, de faire gaffe aux gens. C'est alors qu'une relation adultère basique secrétaire/patron avait commencé. Elle souhaitait qu'elle ne finisse jamais, tant elle aimait les instants passés tous les deux. Ces instants étaient sa raison de vivre, sa raison de se lever tous les matins. Chaque rendez vous qu'il lui donnait l'emplissait de joie à tel point qu'elle ne pouvait cacher son bonheur à personne. Au bureau, ses collègues demandaient sans cesse ce qui la rendait si heureuse, elle se contentait de sourire béatement en pensant aux instants qu'ils allaient passer le soir une fois qu'ils se retrouveraient. Elle fut tirée de ses rêveries lorsqu'il se leva, la prit dans se s bras et dit:

- Comment allons nous faire?

Elle sourit, resserrant son étreinte, respirer encore une fois son odeur, mélange de cigarette et d'eau de toilette, et enchaîna

- Nous pourrions vivre ensemble. Toi, moi et l'enfant.
- Non, nous ne pourrions pas Eileen. Je te l'ai déjà dit, je ne peux pas quitter ma femme, je ne - peux pas. Je l'aime, elle est ma vie.
- Et moi alors? Que suis-je pour toi?
- La mère de mon enfant.
- Rien d'autre?

La tristesse envahit le corps de la jeune femme. Alors elle s'était trompée. Sur toute la ligne. Il n'avait jamais compté vivre avec elle, quitter sa femme. Même un enfant ne le ferait pas changer d'avis. Elle se sentait stupide et trompée à la fois, comment avait-elle pu être aussi naïve et tomber amoureuse de lui en espérant une vie avec lui? Elle avait toujours espéré, alors que jamais il ne lui avait laissé entendre qu'un jour peut être ils vivraient ensemble. Oui, elle s'était fait ses films toute seule et aujourd'hui elle en payait le prix. Et c'était bien fait pour elle. Elle quitta ses bras autrefois si réconfortants et alla s'asseoir là ou Alexandre était il y a quelques minutes. Elle le regarda traverser la chambre, aller vers la porte, l'ouvrir. Il se retourna vers elle, s'excusa et parti. Jamais plus elle ne le revit.

Puis, je tombais sur une photo que j'appréciais tout particulièrement. On m'y voyait, dans les bras de mon père devant un grand hôtel aux Bahamas. Cadeau de ses vingt et un ans par son père. Il l'avait emmenée là bas et lui avait fait vivre les meilleures vacances de sa vie. Ils avaient résidé au Diamond Beach Paradise Hotel qui était probablement le plus bel hôtel du pays, et il lui avait fait découvrir l'endroit et tous ses recoins. C'est à ce moment là qu'elle avait vraiment appris à l'aimer comme un père, car une semaine tous les deux, ça rapproche énormément. Elle avait remarqué à quel point elle lui ressemblait, et c'est ce jour là qu'il lui a proposé de ne plus se quitter, et que malgré tout ce qui c'était passé en vingt et un ans, il ne pouvait nier le fait que j'étais sa fille, et qu'il m'aimait. On ne pouvait pas rattraper le temps perdu, mais notre but était de faire en sorte que chaque minute passée ensemble soit meilleure que l'autre. Je savais que je n'étais pas sa seule fille, qu'il avait aussi deux fils et une autre fille, mais bizarrement, je me sentais comme si j'étais la seule qui comptait pour lui, j'avais l'impression d'être aimée comme jamais je ne l'avais été avant, et c'était la meilleure des sensations. Je ne dis pas que ma mère ne m'aimais pas, bien au contraire, c'est une super mère, mais disons qu'elle est tellement égoïste qu'elle ne prouve jamais son amour etj n'ai jamais eu le droit à un cadeau spontané. On doit lui prouver notre amour, mais elle ne montre jamais le sien en retour, tandis qu'avec mon père j'avais la sensation d'exister, d'être autre chose qu'une fille bonne à consoler lorsqu'on se fait larguer. Si ce voyage avait été aussi bon, c'est aussi parce que j'avais pus parler librement de ma mère, de ce que je détestais par dessus tout, j'avais pus lui dire ce qui m'avait poussé à lui dire ce que je lui avais dit, et mon père n'avait bronché. Il ne m'avait pas fait de leçon de morale, ne m'avait pas dit que je n'aurais pas du lui faire ça, et ne l'avait pas enfoncée encore plus. Car si ma mère haïssait mon père à un plus haut point, lui s'en fichait. Il ressentait toujours de l'amitié envers elle, et avant qu'il sache que je m'étais brouillée avec elle, il me demandait toutes les fois où nous nous voyions comment elle allait. Cela dit, il n'avait aucune raison de lui en vouloir, elle ne l'avait pas blessé, elle ne lui avait pas menti. Dans l'histoire, c'était lui le méchant, pas elle. Il aurait donc été bizarre que ce soit lui qui lui en veuilles. Il acceptait parfaitement le passé qu'il avait avec elle, surtout depuis qu'il l'avait annoncé à sa femme. Une longue période de séparation a suivie, période pendant laquelle nous sommes partis, donc trois semaines, puis ils se sont parlés et se sont remis ensemble. J'étais ravie pour lui, puisque malgré son sourire, je voyais qu'il n'allait pas vraiment bien, et la veille de notre départ il avait déballé ce qu'il avait sur le coeur, et m'avait avoué à quel point il aimait sa femme. J'étais émue de voir l'amour qui les unissait tous les deux, et j'étais encore plus contente lorsque j'appris que tout était réglé, j'étais plus que ravie pour lui. Car oui, quelque part, c'est ça être une bonne fille : être heureuse lorsque son père est heureux. Je n'ai encore jamais rencontré sa famille, et je n'y compte pas vraiment. Pas que je ne m'intéresse pas à sa vie, bien au contraire, mais je ne pense pas que celle ci m'affectionne tout particulièrement, car après tout, je suis celle née de la relation interdite, et je ne pense pas que j'apprécierais particulièrement si mon mari me présentait la fille qu'il a eu quand il me trompait. Je sais que si je lui demandais à les rencontrer, il organiserait la rencontre sur le champs et serait ravi de voir les personnes qu'il aime le plus au monde ensemble, mais je me sentirais trop comme étant une pièce rapportée, une sorte de vilain petit canard, et je n'ai pas envie d'être la bête noire d'une famille heureuse sans moi, donc je me contente d'être proche de mon père en étant loin d'eux., et cette situation me convient. De plus, je pense qu'il serait malsain que j'aprennes à les connaître, puisque même si nous sommes brouillées, ma mère doit quand même savoir ce que je deviens, et si elle apprenait que j'ai rencontré une nouvelle famille, comment le prendrait – elle? La connaissant, elle penserait que je l'ai remplacée, qu'elle n'existe plus dans ma vie, et que je ne pense plus à elle, ce qui est bien sur faux, mais m'étant promis de ne pas faire le premier pas; je ne pourrais pas la rassurer. Question de fierté sûrement, mal placée certes, mais fierté quand même.

Une fois mon moment de nostalgie terminé, je rangeais les photos dans la boîte à chaussures destinée aux photos et la rangeais au dessus de mon dressing. Je me retournais vers mon lit pour regarder l'heure. 14:20, dans dix minutes, j'avais rendez vous avec des clients qui voulaient partir en voyage de noces pour un prix bas. Je pris mon sac à main, et parti à l'agence. Car oui, grâce à mes éudes, j'avais pus travailler puis reprendre l'affaire de l'agence de tourisme de la famille d'une amie. Chose qui peut paraître bizarre, je l'admets, surtout avec si peu d'expérience, mais faut croire que j'avais fais mes preuves. Je pris le courrier comme tous les matins, et vis un emblème que je connaissais bien: Diamond Beach Paradise Hotel. Un sourire apparu sur mes lèvres. Après avoir lu la proposition et la semaine offerte pour en faire la critique, mon premier reflex fut d'appeler mon père pour lui proposer de venir avec moi. Malheureusement, il du décliner l'offre à cause d'une affaire importante, j'y suis donc allée toute seule. Encore une fois, je suis tombée amoureuse de l'endroit, et encore une fois j'étais triste de le quitter. C'est donc ravie en rentrant que j'avais une critique plus que positive à propos de l'hôtel.

A ce moment là, j'avais la vie dont je rêvais. Mon petit ami était parfait avec moi, j'avais un job stable, un appart tout à moi et spacieux en plein centre de ma ville natale, Antibess, un père plus que présent pour moi, que demander de mieux? Alors que je regardais les prix pour venir passer quelques jours avec mon chéri (avec qui j'étais depuis près de trois ans) en même temps que ma critique, j'eus une surprise plus que désagréable à mon retour. Un mot, qui disait clairement que tout était fini entre nous. Autant dire que je me suis sentie comme si je tombais de la fenêtre de mon salon, mais je devais être forte. J'appelais mon père en pleurs, qui me conseilla de prendre des vacances « pour oublier », et la première destination à laquelle j'ai pensé c'était les Bahamas. J'aimais tellement cet endroit que je ne pouvais qu'aller mieux en m'offrant un exil. Avant de partir, je délégua l'agence pour une durée indéterminée à ma co-directrice, fit mes valises et pris l'avion la nuit même. C'est décidé, j'oublie tout et je passe à autre chose! Enfin, j'oublie tout sauf mon père, évidemment!

Toi derrière l'écran
Moi, je m'appelle manon, j'ai 18 ans et sur Internet, on me connait surtout sous le nom de yesterday. J'ai connu A Beautiful Lie par moi-même et je trouve qu'il est topissime. De ce fait, je m'engage à jouer mon Personnage inventé , qui se trouve à être mon cinquième compte, et je l'assume en attestant que j'ai chanté hakuna matata sur un rocher
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