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 CALLIXTE ~ si seulement on pouvait s'attendre à une telle situation dans sa vie.

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N. Ezeckiel Harper

N. Ezeckiel Harper

MA PETITE VIE

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MessageSujet: CALLIXTE ~ si seulement on pouvait s'attendre à une telle situation dans sa vie.   CALLIXTE ~ si seulement on pouvait s'attendre à une telle situation dans sa vie. Icon_minitimeMar 17 Sep - 0:56


que passé devienne présent.

« La vie est agréable. La mort est paisible. C’est la transition qui est désagréable. » Tels étaient les premiers mots qui me revinrent en tête au réveil. Une citation que l’on m’avait dise un jour, lorsque j’étais encore tout jeune. Une manière de rassurée sur la mort, probablement. Si ce n’était que le passage de l’un à l’autre qui se trouvait inconfortable, peu importe, vu que l’on passe un peu moins d’un siècle et l’éternité dans de bonnes conditions. C’est ce que les naïfs se diraient. Ce qui ont passé une vie calme, paisible et bien rangé. Sûrement que cette vision de leur futur les conforte dans leur quotidien. Pour les autres, peut-être que ce proverbe prenait tout son sens si l’on renversait chaque mot : « La vie est insupportable. La mort est houleuse. C’est la transition qui est agréable » Tout dépend de comment on qualifie la vie que l’on vit ou que l’on a vécu lorsqu’il est tant de partir pour cette fameuse transition. Dans un cas comme dans l’autre, se focaliser sur la mort n’est pas une bonne solution. Je l’avais appris à mes risques et périls. Quand on se met à faire du gros trafic d’armes, à tuer des gens sur ordre sans réfléchir soi-même, la fin de notre vie nous suit telle notre ombre. Si l’on se met à s’asseoir et prendre le temps de se poser des questions, nous sommes morts.

Perdu dans mes pensées, mon corps avait bien du mal à vouloir émergé de sous les couvertures de mon lit. Soufflant un bon coup, je les écartais et me levais, allant directement prendre une douche pour me réveiller. On pourrait croire que la routine me rendrait morose et que mon ancienne vie me manquerait, mais il en était tout le contraire. D’aucune façon que ce soit, je ne voulais y retourner. Non pas que je regrette mes actes et que je renie ceux qui m’ont élevé, mais cette vie ne m’attire plus et je ne serais plus aussi efficace qu’avant. Et je serais descendu bien trop vite. Par fierté, je ne me permettrais pas d’y retourner. Ce serait une honte de mourir si stupidement en fonçant dans le tas, tête baisée. Sortant de la douche, j’entrepris de me sécher et d’enfiler un maillot, ainsi qu’un survêtement par-dessus. Prenant une pomme, je me dépêchais de descendre pour aller travailler. Dans l’ascenseur, je pris le temps de manger et je saluais toutes les personnes que je croisais. Une fois dans les vestiaires, je me changeais et j’allais immédiatement au bord de la piscine. Les premières personnes venaient d’arriver et je pris place sur ma chaise pour les surveiller.

De plus en plus de personnes affluaient. Des hommes, des femmes, des enfants. Je ne faisais pas réellement attention à les regarder spécialement, les lunettes de soleil calées sur mon nez. Avec des pensées comme celles que j’avais eu ce matin, mon côté charmeur avait laissé place quelque peu à celui que j’étais avant. Bien que, évidemment, je ne tuerais personne ici. Cela va de soi. Les minutes, les heures passèrent dans le plus grande calme. Je dus seulement rappelé certaines personnes à l’ordre de ne pas faire d’apnée par nécessité de sécurité. Mais rien de très passionnant. Non pas que je cherchais absolument à ce qu’une personne soit entrain de se noyer pour aller la sauver, mais juste qu’il n’y avait absolument rien à faire. Vint alors l’heure de ma pause. Un de mes camarades de travail prit le relai, me disant que je pouvais prendre mon temps, vu le calme qu’il régnait. Je l’en remercie et quittais ma place pour aller boire un verre au bar.

Tout était toujours aussi calme. Partant du bar, je décidais de faire un tour jusqu’à ce qu’un homme m’arrête. Croisant son regard, je fronçais les sourcils. Il me disait fortement quelque chose, mais je n’arrivais pas à mettre de nom sur ce visage. Voyant une personne en retrait, mes yeux vinrent sur elle. Une grande et fine blonde qui ne me regardait pas. Etrange. Je revins à l’homme, et poliment, je pris la parole.

EZECKIEL – « Puis-je vous aider ? »

Bizarrement, j’avais cette vague impression que quelque chose n’allait pas. Et que la situation n’allait pas être aussi calme et tranquille pour toute la journée que je l’aurais espéré. Mais je ne préférais pas tirer de conclusion hâtive. Si ça se trouve, je l’avais juste croiser dans l’hôtel, voilà pourquoi j’avais cette impression de déjà vue.
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K. Callixte Litovski

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MessageSujet: Re: CALLIXTE ~ si seulement on pouvait s'attendre à une telle situation dans sa vie.   CALLIXTE ~ si seulement on pouvait s'attendre à une telle situation dans sa vie. Icon_minitimeVen 20 Sep - 11:17




Baby, I'm a gangsta too and it takes two to tango
Pris au piège. Aucun autre terme ne me vient en tête. Je regarde le visage de l'homme qui dort à mes côtés. Bien sûr, il est tout à fait charmant. Peut-être un peu plus quand il est assoupi, d'ailleurs. J'effleure sa joue, voudrais lui dire d'ouvrir les yeux. Ce ne serait que par pur égoïsme je suppose, puisque ma seule envie est de pouvoir y plonger mon regard. Je veux qu'il me regarde et ainsi comprendre que je suis bel et bien là, présent, que son regard perçant et certain puisse me réconforter. Au lieu de ça, pour une fois, je me contente de le regarder dormir. Cela dure depuis plus d'une heure déjà. Je n'aime pas cette situation. Je pourrais très bien sortir doucement des draps, partir sur la pointe des pieds, quitter le lieu, quitter les Bahamas, ne plus donner de nouvelles à quiconque. Mais si Ivan dort si fermement et que ses traits sont tout à fait détendus, c'est parce qu'il sait parfaitement que je suis là. Que je ne ferais rien. Après tout, où aller ? Que faire ? Et pourquoi ? Me prouver que j'ai encore une quelconque liberté ? Ne serait-ce qu'une simple prise sur ma personne qui me permette de faire des choix par moi même ? Ce serait tellement stupide. Tellement puéril. Je sais pertinemment que je ne suis plus capable de tout ça, maintenant. Ivan a bel et bien su se rendre indispensable, l'enfoiré. Il est à la fois mon père, mon amant, mon ami, mon dealer, mon mac, mon professeur, tout, définitivement, il représente tout ce dont j'avais besoin. J'aurais pu avoir une vie sociale normale, comme tout le monde. J'en suis sûr. Mais il s'est imposé à moi comme étant le seul nécessaire. A vrai dire c'était le seul à vraiment être là. Sur le coup, c'était satisfaisant. Néanmoins, les années ont passé, et son emprise sur moi s'est affirmée. Finalement, je ne suis qu'un oiseau qui fait le beau à travers sa petite cage bien close et oppressante.

Je sens déjà les rayons du soleil chauffer ma peau. Il n'est pourtant pas très tard, du moins je le suppose... Ce climat me plaît mais me change de chez moi. Je repense aux rues de Vologda puis de Saint-Pétersbourg. Mon esprit semble alors y être projeté, oubliant mon corps sur ce lit, à des kilomètres de ma Russie natale. Je retrouve toute ma tête au contact de la main d'Ivan. Il me regarde avec ses yeux entrouverts, trop fatigués encore pour s'ouvrir complètement. D'une petite voix, il demande : "Tu es réveillé depuis longtemps ?" avec un sourire à peine perceptible, je répond d'une voix douce : "A peine cinq minutes." Je ne suis même pas sûr qu'il ait entendu, à vrai dire, je pense qu'il se fiche pas mal de la réponse. Je passe la main dans ses cheveux. "Des projets pour aujourd'hui ?", me permet-je de demander. Nous ne sommes pas ici pour nous amuser, mais après tout, sait-on jamais. "Pas le moins du monde" dit Ivan, presque agacé par la question. Je fais un grand sourire. "Très bien. Tu m'accompagnes à la piscine alors." Il me fait les gros yeux, soupire, je dépose un baiser sur son front et lui propose de lui faire son déjeuner pour faire passer la pilule, dirons-nous. Lui qui voulait tellement se prélasser aujourd'hui. Finalement, ne pouvant résister à ma "foutue gueule d'ange" comme il disait si bien, il se trouvait contraint de m'accompagner à la piscine. D'un sens, il pouvait bien faire ça pour moi ! Depuis le début, j'avais joué le jeu. J'étais mademoiselle Litovski, sa compagne, je me taisais, je le suivais, devais sourire etc... Ce que je lui demandais en échange, c'était tout à fait convenable à mes yeux. Je fis très vite. Enfila un maillot vert en me disant qu'avec le rouge à lèvres rouge éclatant, à la limite du orange, ça ne pourrait que donner un bon style. Bien sûr, je n'allais pas directement sortir comme ça, alors j'enfilai par dessus une robe mi longue de la même couleur que mon maillot. Une robe en soie au col bateau, resserée par une simple ficelle au niveau de la taille. Des escarpins beiges vernis. Plusieurs chaînes dorées au cou façon hipster. Un tas de breloques aux poignet gauche. "Je ne savais pas qu'il fallait tant s'apprêter pour aller nager", lança mon compagnon. "La ferme, emmène moi."

Quelques minutes après, nous arrivions à la piscine. J'avais simplement emporté mes cigarettes dans une pochette, quelques billets au cas où; je gardais un bel éventail en main et mes lunettes de soleil sur le nez. Nous venions à peine de trouver une belle place que je sentais Ivan ailleurs. Il ne me portait même pas attention, non, il est captivé par autre chose. Une autre personne. Je cherchais le coupable du regard. "C'est le mec aux dreads que tu regardes comme ça, là ? Te gêne pas surtout, va le rejoindre si l'envie t'en prend." Ma remarque ne semblait même pas l'atteindre. Cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Il fronçait les sourcils et moi, je me mis à soupirer en croisant les bras. Je fis le choix de ne pas lui adresser un regard, puis il se manifesta et commença à se lever : "Comme quoi tu as parfois de bonnes idées. On le rejoint." mon visage a du se décomposer quand il a prononcé ses mots puisqu'il a eu un petit rire, et il a ajouté : "Fais moi confiance, tu dois me suivre." Mon plan piscine tombait donc à l'eau, clairement. Que voulait-il à cet homme ? Je m'en fichais plus que tout au monde, mais j’espérais qu'Ivan avait une bonne raison pour ne pas assouvir mon envie du jour. Arrivés au niveau du jeune homme, il demanda à Ivan s'il pouvait l'aider. Ou bien il s'adressait aussi à moi. A vrai dire, j'avais préféré détourner le regard et ne même pas lui prêter attention. De loin, il m'avait semblé beau. Raison de plus pour ne pas le regarder. Je ne dis pas un mot et m'évada, loin dans mes pensées. Mais j'avais clairement entendu Ivan saluer l'homme, et l'appeler par son nom aussi. Il lui dit quelques mots en russe. Ce détail me fit revenir dans le monde réel. Il parlait russe, ce gars ? Je ne les écoutais, mais tout de même. J'avais entendu du russe. Ivan semblait le connaître. Ce que ça me fait ? Aucun effet, j'ai l'impression d'avoir rencontré plus de personnes de "l'entourage" d'Ivan depuis notre arrivée aux Bahamas qu'en Russie. A croire que tout le monde tentait de se faire oublier ici mais restait entouré des mêmes mauvaises fréquentations. Ridicule. Le portable d'Ivan se mit à sonner au bout d'un quart d'heure de discussion dont je n'avais pas saisi un mot tant je m'en moquais. Mais là, j'entendis Ivan dire au brun : "C'est un appel important, j'en ai pour cinq minutes. Tu peux prendre soin d'elle en attendant ?" encore une fois, une question posée sans vraiment attendre de réponse. Il me lança un regard, posa un baiser sur ma joue et prit ses distances pour pouvoir discuter tranquillement. J'haussais les sourcils. Puis, agacé, décida de sortir une cigarette. Tirant longuement sur ma blonde, j'en avais presque oublié le brun. Le beau brun. Oui, parce que maintenant, mon regard se posait sur lui. S'attardait sur lui. Sans gêne. J'admet, monsieur est très beau. Peu bavard, je trouvais toutefois l'absence de mots pesante. "J'aimerais boire quelque chose. Quelque chose de fort, coloré, sucré. Penses-tu que ce soit faisable ?" Je gardais un sourcil haussé. Le tutoyer, c'était un choix. Si cela ne lui plaisait pas, je suppose qu'il me le ferait savoir. Madame Litovski, vous êtes si impolie. Et cet homme, comme les autres, devait me prendre pour une femme. Je ne pouvais pas être moi même. Je ne suis pas libre. Un oiseau en cage, c'est exactement ce que je disais.
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N. Ezeckiel Harper

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MessageSujet: Re: CALLIXTE ~ si seulement on pouvait s'attendre à une telle situation dans sa vie.   CALLIXTE ~ si seulement on pouvait s'attendre à une telle situation dans sa vie. Icon_minitimeDim 6 Oct - 7:22


que passé devienne présent.

« Ne t’enfonce pas trop dans le passé, ne rêve pas trop du futur, concentre-toi sur le moment présent » Le problème vient du fait que le moment présent est identique au passé. Au départ, j’avais demandé s’il avait besoin de quelque chose, à lui, vu que la jeune femme qui l’accompagnait restait en retrait. Mais à peine m’avait-il salué que je le reconnus directement. Autant physiquement, les personnes ne me disaient pas tout le temps quelque chose et je les oubliais assez vite, mais une voix ne pouvait pas s’effacer dans ma tête. A peine eut-il dit mon prénom, que je connaissais le sien. Ivan. Ses mots en russe me firent sourire. Ma langue maternelle qui m’avait – étonnement maintenant que j’y pense – tant manqué. Il me parlait qu’il ne pensait pas me voir ici, après tout ce qu’il s’est passé en Russie. Je ne pouvais qu’en sourire et lui raconter que ce que j’avais à faire là-bas est terminé pour moi et que ma « famille » m’a laissé partir. Nous parlions d’un peu de tout et de rien, ma pause m’ayant totalement sorti de la tête, mais du moment que mon collègue de m’appelait pas, c’est que tout allait bien et qu’il n’avait pas besoin de moi. Après tout, tout était calme et je n’étais pas si loin que ça de la piscine pour le moment. Après quelque chose comme une quinzaine de minutes à parler du passé et du présent, j’entendis une sonnerie. Son portable.

IVAN – « C'est un appel important, j'en ai pour cinq minutes. Tu peux prendre soin d'elle en attendant ? »

Hochant la tête, je ne me voyais pas refuser. Le voyant embrasser sa joue avant de partir, je la regardais sans vraiment me soucier si ça l’a gêne ou pas. En sachant qu’elle accompagne Ivan, j’en doutais fortement. Quand elle sort sa cigarette, je m’apprêtais à lui que c’est un lieu public et que ce n’est pas accepté, mais le charisme qu’elle dégage en le faisant me fait me taire. A la place, un léger sourire nait sur mes lèvres. Puis son regard se pose sur moi et encore une fois, je n’allais rien dire. Parce que sa façon de faire me plaisait énormément.

CALLIXTE – « J'aimerais boire quelque chose. Quelque chose de fort, coloré, sucré. Penses-tu que ce soit faisable ? »

Mes yeux se levèrent vers elle, s’encrant dans son regard gris et bleu. Des yeux où l’on peut se perdre si aisément. Son comportement me plaisait – sourcil haussé, me tutoyer – et je ne pouvais qu’en être amusé. Ivan avait toujours eu le don de déniché des perles rares. Celle-ci se révélait être la plus fascinante de toutes celles que j’ai pu rencontrer jusqu’à maintenant.

EZECKIEL – « Bien sûr, Mademoiselle Litovski » lui dis-je en me souvenant du nom de famille de son partenaire. « Si vous voulez bien me suivre »

Pourquoi le vouvoiement ? Je n’en sais rien. L’habitude, sûrement. Lui priant de me suivre, je me rapprochais du bar proche de la piscine. Le jeune homme me sourit, comme toujours et je lui fis un clin d’œil.

EZECKIEL – « Peux-tu me laisser faire un cocktail ? »

Le garçon me sourit et me fait signe de passer derrière le bar. Je ne pus que sourire à me retrouvant à côté de lui, mais je ne fis pas tellement attention que ça à lui. La blonde somptueuse me captivait plus. Son regard me plaisait de plus en plus, mais je détournais le mien pour lui faire une boisson digne de ce nom. Cachant chaque ingrédient que je prenais, je finis en mélangeant le tout avant de lui servir dans un verre. Elle m’avait demandé quelque chose de fort, coloré et sucré. J’espérais avoir réussi à la satisfaire. Tout n’était plus qu’une question de seconde. Voir ses lèvres se tremper dans le cocktail, distinguer chaque appréciation sur son visage, entendre ce qu’elle en pense … Je me retrouvais accroché à ses lèvres, attendant impatiemment ce qu’elle répondrait de ce que je venais de lui offrir.
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