Paris une ville splendide accueillant des milliers de personnes de tout âge et parmi ces personnes se trouvaient la famille: Lewis . Une famille des plus banales - pas si sûr (a) -, deux parents heureux et amoureux avec deux merveilleux enfants. Moi Molly Jennyline Lewis un membre de cette charmante famille, sœur jumelle de Sean avec lequel je partage pratiquement tout. Je suis une personne qui aime particulièrement la vie, ses amies, sa famille. Je porte d'ailleurs un grand intérêt à tout ce que j'entreprends mais tout ça, c'était avant, avant que tout cela arrive. Mon frère est mort emportant avec lui toute ma joie de vivre et laissant derrière lui une fille en colère, moi.

Désormais je suis âgée de seize ans, je vis actuellement à New York. Mon père pensait qu'en changeant de ville tout irait bien, mais une blessure comme celle-ci ne s'efface pas en un claquement de doigt et surtout ce n’est pas en changer de ville qu’on va oublier le passer.  Il était vingt heure trente, l'heure du repas. Un moment que je redoutais la plupart du temps, cette ambiance de rire forcés me donner envie de vomir. Comme chaque repas mon père se pliait de rire avec ma mère dans des sujets peu drôle soit disant passant et à chaque fois je portais un regard de mépris à leur adresse et comme toujours je quittais la table à manger pour regagner ma chambre. «  Vous êtes incroyable à vous entendre c’est comme si Sean n’avait jamais existé, il est  mort il y a à peine quelques mois et vous vous riez comme deux abrutis alors que sa putain de photo est placé juste derrière vous. Et toi papa tu crois en changeant de ville tout arranger les choses mais vous vous voilez simplement la face, vous croyez que je suis sourde, je vous entends fondre en larme dans vos chambre. » Dis-je en me déplaçant pour récupérer la photo de Sean que je regarda plusieurs seconde avant de reprendre «  Sean est mort, il est mort et n’a pas tenu sa promesse, et vous aussi.  Maman tu as toujours promit de le protéger et là il est où ? Dans un cercueil enfermer sous terre. »  Dis-je en balançant le cadre par terre qui se brisa en mille éclats en touchant le sol et je quittai les lieux aussitôt.

Dans ma chambre, je  me mis à regarder des photos de moi, qu'il y a trois ans pendant plusieurs minutes avant de me retourner vers le miroir et là, je me suis posé cette question : A partir de quand tout à vraiment basculer ? Quand ai-je cessé d'être heureuse ? Je souris certes mais vous comme moi savez qu'il n'y a rien de plus trompeur qu'un sourire. J'ai perdu toute cette joie de vivre qu'il y avait sur ses photos depuis son décès, je me demandais souvent comment mes parents faisaient pour avancer autant. C'est triste de perdre sa joie de vivre à mon âge, de passer son temps à se plaindre et à faire semblant que tout va bien. Ma solution de survis ? Ne plus rien ressentir, penser à moi et seulement à moi. Je soupirai longuement avant de sortir un sachet de cocaïne que je plaçai en raille et le sniffa doucement me sentant qu’un seul coup beaucoup mieux. Depuis ce jour j’étais devenue accro à cette merde qui aller surement me pourrir la vie.

Quelques années plus tard, je restais toujours la même toxicomane, plongée dans la drogue. J’allais mieux certes mais je n’avais toujours pas réussit à me détacher de l’apprise de la drogue mais passons, ce matin en me levant je venais de trouver dans la boite au lettre un courrier qui m’étais adressée et sans plus attendre je l’ouvris. Une invitation. Je ne savais pas d’où cela venait mais je l’avais reçue donc pourquoi ne pas en profité ?  Puis ça me permettrait de quitter le domicile familial chose qui arrangerait surement mes parents qui ne savait plus vraiment quoi faire de moi quoiqu'en fait, je crois que cette invitation est due à cause de mes parents. Oui je crois que j'ai oublié de précisé que je viens qu'une famille aisée.

Une fois les bagages faits et l’arrivée à l’hôtel situé au Bahamas, je m’étais enfin convaincu que c’était peut-être une nouvelle vie qui s’offrait à moi. J’avais deux choix : Continuer à agir comme un déchet ou bien me reprendre en main et avancer ? Quel choix faire ?

Mon arrivé sur l'îles me fit un petit pincement au cœur, les Bahamas quoi! Ce n'était pas n'importe quelle îles. Pour être honnête j'espère que les soirées là-bas soient de la tuerie. Oui je suis une sacrée fêtarde et alors ? Je suis âgée de dix-neuf ans et célibataire donc pourquoi ne pas en profité ? mais j’espérais également faire des rencontres. Enfin bref, on verra bien où le destin me mènera après tout.