elliot et kyrah

Boire jusqu'à ne plus en avoir soif. Drôle de mentalité mais je suis. Je suis à fond, jusqu'au bout de la nuit. De sorties avec quelques amies, je décidé que ce soir c'est ma soirée, et que rien ni personne ne viendra la gâcher. Le sourire aux lèvres, je me déchaîne tout ce que je peux sur la piste, jusqu'à ce que l'heure fatidique arrive et que les videurs ayant la folle envie d'aller se coucher nous virent. Une bouteille de vodka-orange à la main, on se sépare toutes en souhaitant à chacune de rentrer chez elle le mieux possible. Moi, je me dirige vers la résidence de l'hôtel où se trouve mon bungalow titubant et râlant contre la Terre qui tourne trop vite à mon goût et me donne la nausée. On dit toujours de guérir le mal par le mal, c'est pourquoi je reprend une gorgée du mélange en m'essuyant la bouche de revers de la main. A cause des verres précédents, je ne sens plus le liquide couler dans la gorge avec ce petit brûlement caractéristique de la vodka. Désormais c'est de l'eau à l'orange. Décidée, je continue mon chemin jusqu'à ce que je me rende compte que je ne me dirige pas vers chez moi. Sans réellement savoir pourquoi, je fonce toujours plus vite vers le bungalow que je fixe depuis que je peux l’apercevoir. Une fois devant la porte, je balance ma bouteille dans le buisson et frappe énergiquement tout en pestant encore une fois contre la Terre, me faisant perdre l'équilibre. Comme prévu, Elliot ouvre la porte. Le trouvant terriblement sexy en caleçon, je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que soit, ouvre la porte en plus grand, déboule dans la pièce et prend le visage du jeune homme à pleines mains, et l'embrasse de tout mon cœur et amoureusement avant de m'éloigner et d'ajouter « salut sexy » avec mon regard le plus aguicheur.

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Et je continu d'embrasser le jeune homme et à ma grande surprise je ne me prend pas de gifle ou un quelconque geste signifiant que ce baiser n'est pas le bienvenue. Ou peut-être il me l'a mise mais je ne l'ai pas senti? Après réflexion je me rend compte que c'est impossible; s'il avait voulu me frapper, avec la force qu'il a et manque d'équilibre évident que je subis en ce moment même, je serais par terre à me demander qui a éteint la lumière.  Mais on est là, à s'embrasser au milieu de son entrée jusqu'à ce qu'il y mette fin et s'écarte de moi. En réaction à son geste, je soupire bruyamment et ronchonne pour montrer mon mécontentement. Je sens une pression forte sur mes bras, arrêtant tout vacillement ce qui me permet de calmer ce mal de ventre qui commençait à être vraiment gênant. Je le regarde dans les yeux et dit « merci.», après quoi je me mets à rire bêtement, rire qui en dit long sur mon état. Lorsqu'il me propose de me raccompagner chez moi, je rigole encore bêtement et quitte l'entrave qu'il fait sur moi et vais me pendre à son cou « non je veux rester ici parce que je t'aime! » et encore une fois je rigole tout en posant ma tête sur l'épaule du jeune homme afin de m'ajouter un appui de plus et ne pas tomber comme un chiffon par terre.

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Lorsque je suis posée contre son épaule, je sens mes paupières qui sont lourdes, mais très vite la voix du jeune homme se ramène sur terre et me fait me ressaisir. Mon état est tel que je me souviens à peine ce qui a pu le gêner ainsi, à en juger par son petit rire. Puis je me souviens, c'est pourquoi je m'écarte de lui, pose tant bien que mal mes bras sur mes hanches et prend un air faussement énervé, avant d'ajouter « tu pourrais dire que tu m'aimes aussi, au moins. Je passerais moins pour une idiote. ». Et encore une fois je me mets à rire, sans vraiment pouvoir contrôler quoi que ce soit. Lorsqu'Elliot passe son bras autour de ma taille, un frisson me parcours le corps et je le suis tandis qu'il me dit qu'il m'emmène sur le canapé. Puis il me dit que je ne suis plus capable de faire grand chose. En réaction, je me desserre de son emprise et commence à lever ma jambe afin de passer mon bras dessous pour toucher mon nez. En équilibre sur un pied, je commence à vaciller dangereusement sur la droite, et tente de me rattraper comme je peux. Lorsque je me rend compte que je suis en effet pas au top et que je m'expose comme ça face à mon ami, une vague de honte me submerge, et les les larmes me montent vite aux yeux, le tout amplifié par l'alcool ingurgité auparavant. Dans un sanglot, j'arrive à dire à mon ami « je suis désolée Elliot, je suis tellement pitoyable.». Prise d'un élan d'affection, je me relève subitement, regrettant très vite ce mouvement brusque, et va dans les bras de mon ami, toujours aussi honteuse.

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« Fais gaffe que je ne me souvienne pas de ce détail » dis-je, tentant d'articuler le plus possible afin de me faire comprendre au maximum. Maintenant que j'avais arrêté de boire depuis un petit moment, les effets euphorisants et tout ce qui va avec commençaient à s'estomper et par conséquent j'arrivais dans une phase descendante à laquelle je ne pouvais pas échapper, malheureusement. C'était ce qui avait provoqué mes larmes et qui allait les faire partir aussi vite qu'elles étaient arrivées. Cependant, en ce moment j'étais dans les bras réconfortants du jeune brun et je m'y plaisais assez pour rester là, jusqu'à ce que le jeune homme bouge et me demande de me lever. Une fois debout, je sens qu'on me soulève, et quelques secondes après je suis dans les bras de mon ami. Sur le ton de la plaisanterie, malgré mon état actuel, je trouvais le moyen d'articuler « fais gaffe de ne pas me taper la tête contre un mur, le mal que je subirais demain matin me suffit amplement. ». Lorsqu'il me dépose doucement sur le lit, je souris et dis « je ne supporte pas les habits pour dormir, je vais rester en soutient gorge. Mais je ne dis pas non à l'eau. ». Une fois que j'ai fini, ma timidité et ma pudeur envolées à cause l'alcool, je défait ma robe pour me retrouver habillée simplement de mon ensemble soutien gorge et shorty, tout en envoyant valser ma robe à l'autre bout de la pièce.

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Lorsque mon ami revient dans la pièce, je prends sa bouteille d'eau et en boit plusieurs bouchées, ce qui eu pour effet de me rafraîchir et me faire redescendre encore un peu. « merci beaucoup ça fait un bien fou t'imagines même pas!». Du revers de la main, je m'essuie la bouche avec un geste pas sexy du tout mais cela ne me gêne pas le moins du monde. Je tente de remettre la bouteille sur la table de nuit mais la loupe et la fait tomber. Sur ce, je tente de la récupérer et par conséquent perd tout équilibre et me retrouve par conséquent les jambes en l'air, la tête en bas avec le sang et l'alcool qui me montent au cerveau. Désespérée, je lance un «Elliot, aide moi s'il te plaît! »

elliot et kyrah

J'embrasse doucement le jeune homme avec toujours plein de douceur, ne voulant pas être brusque n'aimant moi-même pas les baisers brusques. Nous étions là, comme deux ados à s'embrasser, ne pouvant quitter mon sourire lorsque je l'embrassais. Finalement, j'étais contente d'avoir bu et j'étais contente que l'alcool m'ait fait aller chez Elliot, et tout ceci nous a mené ici et je ne regrettais pas la tournure que prenait la soirée. Après le second baiser, je vis le jeune homme s'éloigner, et attendant une réponse à ma question, j’eus seulement droit à un clignement d'yeux qui pour moi voulait en dire beaucoup. C'est pourquoi je ne me gênai pas et continuai de l'embrasser. Pour ajouter un peu plus de proximité entre nous, je passais mes bras autour de son cou et me rapprochais, tout en faisant gaffe de rester sur le lit. Cependant, j'allais me mettre au bord du lit, n'osant pas me lever de peur de perdre le peu d'équilibre que j'avais en ce moment à cause de la vodka ingurgitée auparavant. Puis le beau brun mit encore un fois fin au baiser, mais cette fois il  passa sa main sur ma joue, ce qui eu pour effet de provoquer une nuée de frisson sur mon échine. Je restais perplexe lorsque je le vis s'approcher de mon oreille, jusqu'à ce que j'entende sa voix. En entendant sa question, je rigolais, et avec un air malicieux, je dis « je fais ce dont j'ai envie lorsque je suis saoule, c'est-à-dire ce que je ne ferais pas sobre. »

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J'embrasse doucement le jeune homme avec toujours plein de douceur, ne voulant pas être brusque n'aimant moi-même pas les baisers brusques. Nous étions là, comme deux ados à s'embrasser, ne pouvant quitter mon sourire lorsque je l'embrassais. Finalement, j'étais contente d'avoir bu et j'étais contente que l'alcool m'ait fait aller chez Elliot, et tout ceci nous a mené ici et je ne regrettais pas la tournure que prenait la soirée. Après le second baiser, je vis le jeune homme s'éloigner, et attendant une réponse à ma question, j’eus seulement droit à un clignement d'yeux qui pour moi voulait en dire beaucoup. C'est pourquoi je ne me gênai pas et continuai de l'embrasser. Pour ajouter un peu plus de proximité entre nous, je passais mes bras autour de son cou et me rapprochais, tout en faisant gaffe de rester sur le lit. Cependant, j'allais me mettre au bord du lit, n'osant pas me lever de peur de perdre le peu d'équilibre que j'avais en ce moment à cause de la vodka ingurgitée auparavant. Puis le beau brun mit encore un fois fin au baiser, mais cette fois il  passa sa main sur ma joue, ce qui eu pour effet de provoquer une nuée de frisson sur mon échine. Je restais perplexe lorsque je le vis s'approcher de mon oreille, jusqu'à ce que j'entende sa voix. En entendant sa question, je rigolais, et avec un air malicieux, je dis « je fais ce dont j'ai envie lorsque je suis saoule, c'est-à-dire ce que je ne ferais pas sobre. »

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Tandis que je suis toujours dans l'excitation du moment, encore un peu euphorique de l'alcool, je me laisse totalement abandonnée, sans vraiment savoir où je vais, mais une chose est sûre, j'y vais tête baissée. Je sentis sa deuxième main au creux de mon dos et je ne pus m'empêcher de me cambrer doucement. Lorsqu'il me dit qu'il était sobre, je me levais brusquement et regrettais sitôt ce geste que mon corps fit passer par des étourdissements. M'accrochant au lit, je tentais de garder le plus possible l'équilibre, et dis « bouge pas. ». Sur ce, je partais en direction de la porte d'entrée, l'ouvrit avec une force qui n'était pas la mienne et qui encore une fois me déstabilisa. Dehors, en soutien gorge et shorty, j'allais chercher la bouteille déposée auparavant dans le buisson. Me penchant un peu, je tombais la tête la première dedans, les fesses en l'air. Tentant de me débattre, je ronchonnais tout en farfouillant afin de trouver ce dont j'avais besoin. Une fois la main posée contre le verre, je l'attrapai par le goulot et rentrais dans la demeure. Je retournais tant bien que mal dans la chambre et tendis la bouteille à mon ami « pour calmer tes états d'âme. »

elliot et kyrah

Toute fière de moi, je tends à bout de bras la bouteille, manquant de lui en donner un coup, ne mesurant plus vraiment ma force. Je regarde mon ami boire et s'en mettre partout, et fais une moue dégoûtée en le voyant s'en mettre de partout. Je regarde le liquide couler sur son torse, assez musclé je dois l'avouer. Si j'avais été plus saoule, j'aurais poussé le vice et serais allée jusqu'à lui lécher le torse, mais ne voulant pas passer pour une actrice de porno, je me retins me contentant de fixer son torse, subjuguée. Lorsque je le vois se lever, enlever son caleçon et se rasseoir mine de rien, je souris et dis « visiblement tu crains plus l'alcool que moi. ». Je vais m'asseoir à côté de lui à cause de la terre qui tourne bien trop à mon goût et afin de calmer tout ceci, je me couche sur le dos, les pieds toujours par terre, et ferme les yeux afin de calmer tout ceci, même si je sais que ça ne fait qu'empirer.

elliot et kyrah

Je ne pouvais qu'approuver ce que disait mon ami, j'étais étonnée, car je voyais le jeune homme comme étant un gros dur et là je dois avouer que je l'imaginais pas du tout comme ça. Tandis que j'étais couchée, je sentis une présence au dessus de moi, c'est pourquoi j'ouvrais les yeux vers lui et souris. Lorsqu'il me demanda si j'étais toujours là. Pour toute réponse, je me lève légèrement et l'embrasse doucement et dis « je suis encore au taquet très cher ». Je m'assis sur le reste du lit, ne sachant que faire. Bizarrement, je me lassais de toujours faire le premier pas, encore un des effets de l'alcool, j'étais encore plus lunatique qu'avant, et capricieuse en plus.

elliot et kyrah

Le 'bien' d'Elliot me fit sourire, mais je ne fis rien. J'étais juste là, à regarder ce qu'il faisait, jusqu'à ce qu'il se trouve en face de moi, et se mette à m'embrasser. Avec le sourire, je le laissais faire et le laissais placer ses mains autour de ma taille. Quant moi, je passais les miennes autour de sa nuque et me collais à lui, afin de ne pas faire comme si nous avions du feu entre nous ou je ne sais quoi qui nous empêchait de se rapprocher. Je me détachais doucement avant de lui glisser à l'oreille « tu devrais boire plus souvent en ma compagnie. ». Après ça, je reprenais là où nous nous étions arrêtés, c'est-à-dire l'embrasser, toujours doucement, avec tendresse. Malgré les étourdissements provoqués par l'alcool, et même si je savais que c'était parce que nous avions bu, je savourais ce moment et profitais de chaque instant passés. Cependant, je savais au fond de moi qu'il y avait de fortes chances que je ne me souvienne pas de certains passages, paroles ou gestes que j'ai fais demain. Pour ça, je faisais ce qu'il me plaisait, et je me fichais de demain. Ce soir, j'étais là, avec Elliot.

elliot et kyrah

Énervée à force de réfléchir, je décide de ne plus penser et de me laisser faire, après tout, on ne vit qu'une fois et visiblement c'était dit que ça finisse comme ça étant donné que j'y étais allée de moi-même et que maintenant que j'étais là, c'était le pied total. Visiblement, Elliot semble aussi avoir envie de s'amuser, et je suis contente que cela se passe avec elle. Tout en l'embrassant, je sens que le jeune descend et commence à jouer avec mon soutien-gorge. Pour lui faciliter la tâche, je me cabre et décide de m'agenouiller aussi, et commence à lui venir dessus et me coller sérieusement à lui, tout en mettant ma tête dans le creux de son épaule. Je laisse mes mains courir sur son corps, ne sachant que faire sachant qu'il a d"ores et déjà retiré son caleçon.